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dimanche, 06 octobre 2013

Les médicaments et nous

Le Français est un très grand consommateur de médicaments. Saluons l'initiative du ministère de la Santé qui fait oeuvre d'information et de pédagogie en mettant en ligne une base de données des médicaments.

samedi, 05 octobre 2013

Y a-t-il une place pour autre chose que la Droite ou la Gauche à Montigny ?

Notre démocratie représentative est malade. La confiance des Français est minée par la mainmise d'une élite autoproclamée qui se reproduit à l'identique. Jacobine, elle centralise tous les pouvoirs, qu'elle soit de droite ou de gauche, et le summum est atteint par les pouvoirs "extraordinaires" que possède le président de la République, irresponsable.

Cette élite nous explique que les Français veulent un chef pour être guidés et à tous les niveaux elle a installé des chefs avec des pouvoirs extravagants vus de l'étranger. La France est grande mais les Français sont ingouvernables, parait-il et on nous explique que les Français doivent changer alors que la France est malade de ses élites, et de celles de Paris en particulier.

Ma conclusion est que rien ne peut valablement changer sans une nouvelle constitution moderne instituant de véritables contre pouvoirs, condamnant les conflits d'intérêts et le cumul des mandats entre autres et acceptant et prenant en compte la diversité des opinions.

08:48 Publié dans Vie locale | Tags : centre, ps, verts, ump, droite, gauche | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

vendredi, 04 octobre 2013

Interview de François Bayrou

pour ma part, le concept UMP et centre a toujours été une chimère. Les choses vont se clarifier pour la Droite dont les ténors sont prisonniers de la tactique personnelle de Nicolas Sarkozy qui les tient par la barbichette. Quand on a été ministre de l'intérieur et du budget sous la V° République qui ne reconnaît pas les conflits d'intétêt et autorise le cumul des mandats, on a des informations sur tout le monde et on fait en sorte de p^romouvoir

 

"Les obstacles entre les différentes familles centristes ont presque disparu"
Le Parisien - Avec votre rapprochement avec l’UDI de Jean-Louis Borloo, une nouvelle dynamique au centre est-elle vraiment enclenchée ?
 
François Bayrou - Je le crois. Les obstacles les plus importants entre les différentes familles centristes ont presque disparu : pour ceux qui avaient les yeux fixés sur l’UMP, l’idée d’un parti unique de la droite et du centre s’est dissipée. Sous la pression de l’extrême droite, le climat, de ce côté, est plutôt à l’explosion. Du côté du pouvoir socialiste, c’est la glaciation : on refuse les réformes nécessaires et on oublie les engagements de changement politique. L’attente est forte d’une réponse politique originale et qui donne espoir. C’est pour cela que nous, au Centre, avons décidé de mettre les rivalités personnelles et le bal des egos au second plan.
 
Le bal des egos pourtant est inhérent aux institutions de la Vème ?
 
Je ne le crois pas. L’élection présidentielle est un rendez-vous mais elle ne viendra que dans trois ans. Nous avons bien autre chose à construire avant.
 
Ne craignez-vous pas qu'on vous taxe d'opportunisme? Les noms d'oiseaux n’ont pas manqué...
 
Peu importe. Vient un moment où il faut savoir finir la guerre de cent ans. Quand on a un pays à reconstruire, il faut faire passer les histoires de personnes et de tendances au second plan.
 
François Fillon a t il dérapé ?
 
Je ne crois pas aux dérapages. Devant la question de l’électorat FN, il faut décider si on le légitime en le suivant ou si on résiste en présentant une autre vision. Il y a une inflammation de la société, troublée par la crise, le chômage, par l’immigration mal intégrée, par le surgissement de l’Islam. Une approche nouvelle, courageuse et imaginative, doit permettre d’aborder ces questions sans obsession. Il y a une exaspération à l’égard de la politique. J’ai proposé de répondre par un référendum de moralisation de la vie publique. François Hollande s’y était engagé auprès de moi en cas de blocage du parlement. Il n’en a rien fait. Et même ce qu’il y a de plus choquant demeure inchangé.
 
Trop de dérogations et de privilèges ?
 
La moindre des choses serait par exemple que les parlementaires qui votent l’impôt soient soumis aux mêmes règles fiscales que les autres contribuables. Or ils bénéficient d’un régime dérogatoire qui fait qu’une part de leurs indemnités n’est ni imposée ni contrôlée. Le Sénat vient de repousser le non cumul des mandats. C’est la même logique : faites ce que je dis, pas ce que je fais. Voyez le nombre de parlementaires PS, députés et sénateurs, qui se présentent aux élections municipales, contrairement à leurs engagements, dans l’espoir qu’une dérogation viendra encore retarder les choses !
 
Vous croyez au retour de Nicolas Sarkozy ?
 
Qu’il veuille revenir ne fait aucun doute : il envoie régulièrement des signaux explicites.
 
A t il changé ?
 
Les hommes changent-ils vraiment ? Je n’en suis pas sûr… Mais il ne faut rien exclure. Moi-même parfois… (rires).
 
Qu’est ce qui fait changer les hommes politiques ?
 
Les difficultés, les défaites qui obligent à réfléchir. Et l’expérience…
 
La perte de votre circonscription à Pau en fait partie ?
 
J’ai perdu une élection, pas ma région, pas mon pays, pas mes amis. Car pour moi le Béarn est d’abord une famille humaine. Pas un territoire politique.
 
Avez-vous une envie de reconquête à Pau ?
 
Je parlerai de Pau… à Pau.
 
Qu’en sera t il de vos alliances avec la gauche aux prochaines municipales ?
 
Au Mouvement Démocrate, nous croyons que les élections locales traitent de problèmes locaux et peuvent faire naître des majorités locales, pas le décalque perpétuel de la guerre droite contre gauche. Nous sommes fiers de ce principe. C’est d’ailleurs ce qui se passe dans la plupart des villes petites et moyennes. Cela dit, quand je regarde le terrain, ville par ville, nos équipes locales sont d’accord dans la plupart des cas. Et quand ce ne sera pas le cas, nous en parlerons et nous assumerons.
 
Que reprochez-vous le plus à François Hollande ?
 
De ne pas affronter l’exigence vitale de réformes sur les grands sujets du pays. La réforme des retraites n’en est pas une. Or, ne rien faire tout en prétendant que l’on fait une réforme, c’est épuiser l’énergie du pays et au bout du compte le désespérer. Car lorsqu’on s’apercevra dans quelques mois qu’il faut encore une réforme, que diront les Français ?
 
Qu’est-ce qui le contraint selon vous à l’immobilisme ?
 
Sa majorité. C’est hélas le sujet dont il s’occupe le plus. Il donne l’impression de se déterminer à partir des enjeux intérieurs à la gauche : les courants du PS, les alliés du PS, les satellites du PS, y compris les ultimatums des écologistes ! Tout cela donne une impression d’improvisation et de désordre. Pas de réforme de l’Etat ni de moralisation de la politique, pas de réforme des collectivités locales, pas de vision ou de pensée nouvelle sur la sécurité sociale. Il élude les questions essentielles.
 
Hollande n’est pas à la hauteur ?
 
Je ne veux pas employer de mots blessants. Mais plusieurs millions de ceux qui ont voté pour lui, qui n’étaient pas de gauche, attendaient du courage et des décisions. Il avait des atouts pour le faire, par exemple un climat de confiance avec les syndicats. François Hollande élu pouvait tracer un horizon, créer les conditions d’une majorité réformiste. Il a choisi de n’en rien faire.
 
Vous n’aviez pas négocié votre appel en sa faveur au second tour de la présidentielle ?
 
Jamais. Le marchandage n’est pas dans ma pratique. La liberté ne se divise pas.
 
Sous Hollande comme sous Sarkozy on constate une usure rapide des présidents dans l’opinion…
 
Il y a d’autant plus d’usure lorsqu’ils n’assument pas leur mission. Le rôle du président de la République c’est d’affronter ce que personne n’ose affronter, de montrer le chemin au pays. De créer les conditions des mutations nécessaires. Prenez de Gaulle, ou même Giscard : une partie de l’opinion résistait aux mutations pourtant nécessaires, eh bien ils ont entraîné le pays à passer l’obstacle. C’est cela, président de la République.
 
Les programmes d’histoire-géo ont été réaménagés. Qu’en pensez-vous ?
 
Les programmes sont souvent trop lourds. Mais je crois surtout que l’enseignement de l’histoire est trop abstrait, désincarné. Je suis sûr qu’il faudra en revenir à la chronologie, aux dates, et aux grandes figures, femmes et hommes de chair, de sang et de conscience, qui l’ont faite.
 
Une réélection de la chancelière Angela Merkel serait-elle une chance ou un risque pour la France, et l’Europe ?
 
Ce serait une chance. Angela Merkel est une femme construite, persévérante, qui peut assumer une majorité plurielle, tournée vers l’Europe et qui peut être le partenaire fiable dont la France a besoin en Europe.

08:56 Publié dans Education, Politique | Tags : bayrou, udi | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

Un centre droit n'est pas un centre.

Le concept "UMP et centre" a toujours été une chimère. Les choses vont se clarifier pour la Droite dont les ténors sont prisonniers de la tactique personnelle de Nicolas Sarkozy qui les tient par la barbichette.

Quand on a été ministre de l'intérieur et du budget et président sous la V° République, qui ne reconnaît pas les conflits d'intérêt et autorise le cumul des mandats, on a des informations sur tout le monde et on fait en sorte de promouvoir ceux qu'on tient le mieux.

L'UDI a dû se contorsionner de nombreuses fois face à l'UMP au niveau national. Nous verrons ce qui va se passer dans les jours qui viennent.

Quant aux municipales, elles traitent de concret et ont un enjeu local ce qui réduit les affrontements idéologiques fondés sur des croyances et des convictions.

Le renflouement de l'UMP

Les pouvoirs publics doivent-ils subventionner un parti dont les dirigeants ont montré au mieux une incapacité à gérer un projet comme la campagne des élections présidentielles et au pire une intention de contourner la loi ?

Je m'interroge encore quand je réalise que sur les 11 millions récoltés par l'UMP, les donateurs vont récupérer les 2 tiers de leurs dons soit plus de 7 millions d'euros.

N'est-ce pas encourager des comportements inacceptables de la part des citoyens ?

Et quid de l'amende personnelle de Nicolas Sarkozy ?

La discrimination envers les salariés âgés

Selon le baromètre Défenseur des droits/OIT 2012 « l’âge est le premier critère de discrimination ressentie par les salariés dans l’emploi ». En effet, au-delà de 45 ans, de nombreux travailleurs sont victimes de discriminations liées à leur âge.

Je vous invite à lire le document du Défenseur des Droits et à vous inscrire à son infolettre.

http://www.defenseurdesdroits.fr/connaitre-son-action/la-...

Le 7 octobre 2013, le Défenseur des droits en partenariat avec l’OIT, publiera les résultats d’une enquête réalisée par l’IFOP sur la perception des discriminations par les demandeurs d’emploi. A cette occasion, le Défenseur des droits ... lire la suite


jeudi, 03 octobre 2013

Les idées fausses

La vie trépidante que nous impose le monde "moderne", le zapping permanent d'une activité à une autre ne permettent souvent que de recevoir des informations tronquées sans avoir le temps d'approfondir les sujets dont la complexité est croissante dans notre société. De plus les "éléments de langage" deviennent des armes de désinformation avec l'intention de nuire systématiquement pour des raisons idéologiques.

Je vous invite à consulter cette étude d'ATD Quart monde : http://www.atd-quartmonde.fr/Les-idees-fausses-ca-suffit.... qui remet un certain nombre d'a priori en perspective.

Quelques idées fausses :

Les pauvres coûtent cher à la société

La France distribue des minima sociaux élevés.

Il n’y a pas assez d’argent dans les caisses pour augmenter les minima sociaux

Les pauvres font des enfants pour toucher des aides et des allocations.

Les gens font tout pour toucher le maximum d’aides

- etc.

Quand la biodiversité est en danger avec la "standardisation" et la productivité

Un petit clip pour expliquer rapidement les lois qui protègent des rentes dans le commerce des semences.

http://open-solutions.info/fr/#.Ukyi8dK-2m4

mercredi, 02 octobre 2013

Réunion d'échange du Modem et ses sympathisants de Montigny78

Nous nous réunirons le jeudi 10 octobre 2013 de 19h à 20h au Marina 26 place Etienne Marcel 78180 Montigny.

Si vous vous sentez concerné(e) par la vie de votre commune et que vous partagez nos valeurs humanistes, vous êtes les bienvenus.

Merci de vous inscrire sur ce lien pour nous organiser au mieux :

http://www.weezevent.com/reunion-dechanges-du-modem-de-mo...

A bientôt.

jeudi, 19 septembre 2013

Soyons clairs

http://modemsqy78.over-blog.com/soyons-clairs

je vous invite à consulter ce post du Modem Saint Quentin en Yvelines.

France Info :Qu'est-ce qui a changé, en un an, chez vous ? [allusion à son vote personnel pour François Hollande en 2012 et qui n'était en rien comme on l'entend toujours, un "appel à voter F. Hollande": les adhérents et sympathisants du Mouvement démocrate sont libres et capables de savoir pour qui voter sans que quelqu'un, fusse-t-il leur "Président" leur dise ce qui est à faire,, NDLR)

Rien n'a changé chez moi. Ce qui a changé, c'est que le gouvernement ne fait pas face aux obligations qui sont les siennes, aux engagements qu'il avait pris, et notamment qu'il avait pris à notre endroit.

France Info : C'est-à-dire ?

Prenons un exemple simple : ce matin [18 septembre) on va voter la loi dite de "transparence de la vie publique" en France. Elle ne ressemble en rien aux engagements que François Hollande avait pris, y compris par écrit lorsqu'il avait répondu aux interrogations que j'avais à son endroit. Ce que tout le monde avait entendu, c'est que cette loi allait mettre un terme au cumul des mandats. Chacun n'a qu'à regarder dans sa ville pour voir que repartent aux élections municipales tous les députés-maires, tous les cumuls possibles... J'ajoute que, quand je l'avais interrogé sur ce point, François Hollande m'avait écrit : "Si les parlementaires ne veulent pas aller dans le sens des engagements que je prends, je ferais un référendum devant les Français". Les parlementaires ont refusé d'aller dans le sens des timides mesures que proposait François Hollande... et il n'y a pas eu de référendum.

La vidéo de France-Info est disponible ICI