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dimanche, 14 juillet 2013

La justice est indépendante. Parole de sage ?

Avant le rejet des comptes de Nicolas Sarkozy, sur France Info, un homme politique * affirmait :

"Je ne crois pas à la théorie du complot."

"Que la justice fasse son travail. Contrairement à ce qu'on nous raconte matin, midi et soir, la justice en France est indépendante, elle le prouve."

Depuis la décision du Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkosy, ancien président de la République, le déconsidère et le dénigre alors qu'il s'agit de la plus haute institution de notre pays et que la majorité des membres ont été nommés sous son gouvernement.

La leçon : attaquez l'arbitre ou le contre pouvoir quand une décision ne vous plaït pas !

Le drame est que les médias en rajoutent pour vendre du papier et de l'audience avec les "mauvais perdants" d'ujourd'hui : Sarkosy et Tapie le système TapiKosy !

* Il s'agit d'Alain Juppé, UMP, ancien premier ministre, ancien ministre des affaires étrangères, qui a été condamné par cette même justice.

L'UMP va-t-elle payer les 500 000 euros de Nicolas Sarkozy ?

Avant la décision du Conseil constitutionnel de rejeter les comptes de campagne de NS pour :

  1. dépassement des plafonds de dépense, 
  2. absence de sincérité et 
  3. utilisation des moyens de l'Etat [qui est un abus de pouvoir]

l'UMP avait 44 millions de dettes. Avec ce rejet, elles augmentent de 11 millions pour atteindre 55 millions d'euros.

Grâce aux relations de NS avec les banques, l'UMP va pouvoir rééchelonner ses dettes. Quand on fait des conférences pour Goldman Sachs et HSBC à 100 000 euros la prestation, tous frais payés en première classe, cela ne devrait pas être difficile.

Mais avec ce rejet, NS doit payer 500 000 euros de sa poche soit 5 prestations. Avec le précédent de Jacques Chirac, une question se pose : l'UMP va-t-elle rembourser des 500 000 euros à NS ?

Rappelons quand même que NS a apporté 7 500 euros à l'UMP pour l'appel de fonds lancé aux adhérents.

Fin des bourses au mérite pour les mentions très bien au bac !

Le saviez-vous ? Chaque élève boursier, donc d'un milieu défavorisé, qui a obtenu la mention "très bien" au baccalauréat peut, bénéficier d'un coup de pouce financier de 1800 euros par an pour faire des études supérieures.

  1. pendant 3 ans pour une licence
  2. pendant 5 ans pour une école de commerce ou d'ingénieur
  3. pendant 6 ans pour médecine.

Comme cela "coûtait" l'année dernière 35 millions d'euros, une circulaire va y mettre fin !

Ce genre d'économies est scandaleuse !

La Cour des comptes vient d'indiquer que les collectivités locales ont dépensé 308 millions consacrés aux "déplacements et réceptions". Espérons que celles-ci restreindrons ces dépenses pour assurer la continuité de ces bourses. 

samedi, 13 juillet 2013

Dans les coulisses de l'exercice du pouvoir, des gens de pouvoir

Si vous voulez savoir comment se comportent ces gens médiatiques et de pouvoir, je vous invite à regarder aujourd'hui samedi 13 juillet 2013 l'émission "Vu de l'intérieur" de Laurent Huberson sur Public Sénat.

Il s'agit d'interview d'anciens ministres de l'Intérieur qui sont censés assurer la sécurité des Français et être les personnes les plus informés.

Vous verrez que vous-même vous pourriez être à la place de ces personnes qui s'arrogent le pouvoir d'une façon anti-démocratique.

mercredi, 10 juillet 2013

Présentation de Marc Théry et de son rôle dans l'autosuffisance énérgétique de la Bretagne

La Communauté de commuens du Mené en Bretagne s'est donné pour objectif l'auto-suffisance énergétique le plus tôt possible. Marc Théry apporte à ce projet son intelligence et son dynamisme pour aider les territoires à développer des systèmes efficaces.


Marc Thery, Ingénieur territorial, chargé de... par lagazettefr

Vous pouvez le contacter à Communauté de Communes du Mené

La Croix Jeanne Even - 22330 Collinée

02 96 31 47 11  / Fax : 02 96 31 47 27

energies@mene.fr

Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h

http://energies.ccmene.fr

François de Mazieres, deputé maire de Versailles, victime de surmenage ?

Nous souhaitons un prompt rétablissement au dépiuté-maire de Versailles, François de Mazières, haut fonctionnaire et défenseur du cumul des mandats. Espérons que ce repos lui ndonnera l'occasion de méditer sur la gouvernance du pays et les moeurs politiques.

http://www.lesnouvelles.fr/2013/07/03/francois-de-maziere...

lundi, 08 juillet 2013

Je ressens une gène certaine vis-avis de l'UMP, de ses adhérents et de leurs mensonges

L'UMP, parti de gouvernement, qui a dirigé la France de 2007 à 2012, se trouve dans une situation financière extrêmement délicate à cause de l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.

La gestion de l'UMP explique peut-être la façon dont a été gérée la France pendant l'ère sarkozyste.

Ceci dit, ce qui me gène le plus est le comportement des adhérents : recevoir en héros Nicolas Sarkozy qui est la cause de la déroute financière de l'UMP. C'est proprement hallucinant !

Je crois qu'ils doivent se rendre compte que la terreur que fait règner Sarkozy sur les cadres anciens de l'UMP va se réduire avec le temps. Quand on a été ministre du budget et ministre de l'intérieur, on a suffisamment de dossiers et d'informations pour neutraliser les cadors concurrents. Quand en plus on a été président de la République, ...

Aujourd'hui, les cadors muselés s'expriment et veulent faire croire à une rélélection de NS en 2017. Je n'y crois pas une seconde. Il sera candidat si ses prestations ne sont plus aussi bien payées par Goldman Sachs et HSBC et si le Qatar ne veut pas assurer sa fortune comme il le fait avec Dominique de Villepin.

Quant aux mensonges de la garde rapprochée de NS, voici un article de Laurent Neumann de Marianne : 

Que l’on soit ou non sarkozyste, de droite ou pas, membre de l’UMP ou pas, on peut considérer que la décision du Conseil constitutionnel d’invalider les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy est très sévère. On peut même estimer, pourquoi pas, que la loi sur le financement politique est mal fichue et qu’elle mériterait d’être amendée. Ceci posé, depuis la décision des Sages, on a assisté à un véritable festival de mensonges politiques et de désinformation médiatique. 
  
1er mensonge : Depuis que la décision du Conseil a été rendue publique, les amis de Nicolas Sarkozy ne cessent de répéter que, pour un dépassement de 2% (466.000 euros), leur champion a été puni à 100%. C’est faux ! L’équipe du candidat a déposé des comptes pour une valeur de 21,3 millions d’euros. Une fois réintégrés l’ensemble des frais de campagne oubliés, la facture s’élève à près de 23 millions d’euros. L’insincérité des comptes porte donc sur 1,7 million d’euros. Une paille ! Il se trouve, au surplus, que le plafond total des dépenses autorisées a été dépassé de 466.000 euros. Et encore, les Sages n’ont pas intégré l’ensemble des dépenses, révélées par Marianne, dites des « sondages de l’Elysée »  ! En vérité, le Conseil constitutionnel a rejeté les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour trois motifs : absence de sincérité des comptes, dépassement du plafond de dépenses autorisées et, pour faire bonne mesure, financement irrégulier. La totale ! Voilà pour les faits. Intéressons-nous maintenant aux arguments bidon - avancés par les amis de Nicolas Sarkozy et repris en boucle sur la plupart des médias - pour contester la décision du Conseil constitutionnel. Un florilège de mauvaise foi crasse. A commencer par la fameuse théorie du complot. 
  
2ème mensonge : Les membres du Conseil constitutionnel auraient rendu « une décision politique » et Nicolas Sarkozy serait ainsi victime d’un « complot » pour l’empêcher non pas de revenir en politique – il ne l’a jamais quittée – mais d’être réélu président de la République en 2017. Les amis de Nicolas Sarkozy avaient déjà tenté de faire croire que le juge d’instruction de l’affaire Bettencourt à Bordeaux était un militant, un « juge rouge » qui n’aurait d’autre but que « de se faire » l’ancien chef de l’Etat. Cette théorie du « complot » est évidemment une fable pour gogos. Faut-il rappeler que le Conseil constitutionnel est majoritairement composé de membres désignés par l’ancienne majorité de droite ? Pourquoi, aux yeux de Jean-François Copé et de ses amis de l’UMP, le Conseil constitutionnel est-il politiquement neutre quand il retoque le projet de taxe à 75% sur les revenus supérieurs à un million d’euros par an, mais politiquement engagé quand il invalide les comptes de Nicolas Sarkozy ? Ajoutons d’ailleurs que le même Conseil constitutionnel, depuis les législatives de juin 2012, a invalidé les comptes de campagne de quatre candidats de gauche et d’un candidat de droite. Pourquoi Copé et ses amis n’en ont rien dit ? 
  
3ème mensonge : La décision du Conseil constitutionnel participerait d’un acharnement judiciaire contre Nicolas Sarkozy. Bettencourt, Tapie, Karachi, l’argent de la Libye… et maintenant l’humiliante invalidation de ses comptes de campagnes. Trop, c’est trop ! Sauf que cette théorie de l’acharnement judiciaire est encore un conte de fée à dormir debout… Si les affaires dans lesquelles apparaît le nom de Nicolas Sarkozy se multiplient en effet, c’est parce que ces affaires ont tout simplement été étouffées au cours de son quinquennat. Là encore, il n’y a pas plus de complot que de beurre en broche. N’est-ce pas lui qui a tout fait pour bloquer le développement judiciaire de l’affaire Bettencourt ? N’est-ce pas lui qui a renoncé à exercer un recours contre un arbitrage privé pourtant si favorable à Bernard Tapie et si défavorable à l’Etat français ? En vérité, ce n’est pas l’heure du conte (de fée), c’est juste l’heure des comptes ! 
  
4ème mensonge : Brice Hortefeux, ancien ministre de l’Intérieur, ose déplorer l’extrême sévérité, pour ne pas dire l’injustice, dont aurait fait preuve le Conseil constitutionnel. Or, quand il était ministre, le même Brice Hortefeux – comme Nicolas Sarkozy, comme Claude Guéant que l’on n’entend plus - n’avait pas de mots assez durs pour condamner les délinquants et les criminels, pas de mots assez forts pour fustiger le laxisme des juges – forcément de gauche ! Quand les juges s’attaquent – et à juste titre - à Jérôme Cahuzac ou aux socialistes de Marseille, quand ils condamnent – à juste titre encore - les socialistes du Nord, ils sont formidables. Mais quand ils appliquent la loi à Nicolas Sarkozy, ils sont tout à coup trop sévères et la loi, comme dirait Caliméro, soudainement « trop injuste ». Les grands républicains que sont Brice Hortefeux et Henri Guaino devraient se souvenir que la loi est la loi, que nul n’est censé l’ignorer et qu’elle s’applique de la même manière aux petites gens et aux puissants. A moins d’avoir une conception à géométrie variable de la justice, de la République et de la démocratie. Sarkozy, une victime ? A qui va-t-on faire croire cela ? 
  
5ème mensonge : Le Conseil aurait été plus sévère avec Nicolas Sarkozy qu’il ne le fut par le passé avec Edouard Balladur. En 1995, le Conseil constitutionnel, alors dirigé par Roland Dumas, avait en effet renoncé à invalider les comptes de campagnes d’Edouard Balladur dont chacun savait pourtant qu’ils étaient sujets à caution. Certes. Mais comment de grands républicains comme Guaino et Hortefeux peuvent ignorer qu’en droit français s’applique le théorème latin du « nem turpitudinem… ». Nul ne peut justifier ses propres turpitudes en invoquant celles des autres… Un principe de base de tout Etat de droit ! 
  
6ème mensonge : La décision du Conseil constitutionnel, dit Jean-François Copé, met l’UMP en danger. Sans doute. Mais la vérité obligerait Copé à admettre que les finances de la PME « UMP » étaient déjà sacrément plombées avant le coup de massue de jeudi dernier. Entre 40 et 50 millions d’euros de dettes ! Et pour cause : depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, l’UMP a perdu toutes les élections sans exception. Pour un ancien ministre du Budget qui donne matin, midi et soir au gouvernement des leçons de bonne gestion des finances publiques et qui affecte de vouloir conquérir le pouvoir pour redresser la France, ça la fiche mal. Toutes proportions gardées, Nicolas Sarkozy, lui aussi ancien ministre du Budget, laisse l’UMP dans le même état que la France : percluse de dettes et au bord de la faillite. Pour être crédible, il faudrait juste avoir la lucidité et le courage de le reconnaître ! 
  
7ème mensonge : Ce mensonge-là, plus ancien, beaucoup l’ont visiblement oublié. Souvenez-vous : la scène se déroule en janvier 2012. Le président Nicolas Sarkozy, pas encore candidat, se répand en confidences intimistes auprès des journalistes qui l’accompagnent dans son déplacement en Guyane. Voilà, très précisément, ce qu’il leur disait : « Oui, j’en ai la certitude. J’ai 56 ans, je fais de la politique depuis 35 ans, j’ai un métier (avocat, NDLA), je changerai complètement de vie, vous n’entendrez plus parler de moi si je suis battu »… 
Or, depuis qu’il est battu, on entend parler de lui tous les jours. Encore une promesse non tenue. Une de plus…

vendredi, 05 juillet 2013

Déconsidérer un juge personnellement pour gagner un procès : moral ?

Aujourd’hui, c’est le juge de Bordeaux qu’on tente d’abattre. Et avec quelle constance ! Tous les moyens sont visiblement permis. On a d’abord laissé entendre que le simple fait que le juge soit marié à une procureure pouvait jeter la suspicion sur l’indépendance de son travail. Rumeur malveillante, très vite démontée. 

Puis, arguant que Jean-Michel Gentil avait été président de l'association des magistrats instructeurs, certains ont voulu faire croire qu’il était forcément de gauche, donc engagé dans un combat politique contre Sarkozy. 

Son avocat, Me Thierry Herzog, a ensuite cru bon de moquer les « erreurs » factuelles de l’enquête menée par le juge. Le magistrat - c’était écrit dans le Journal du Dimanche et l’information avait été reprise par tous les médias audiovisuels - aurait confondu Liliane Bettencourt et Ingrid Betancourt en analysant les rendez-vous inscrits à l’agenda de Nicolas Sarkozy. Un mensonge tellement gros que le parquet de Bordeaux dut se fendre d’un communiqué pour indiquer : « contrairement à ce qui a pu être publié dans divers organes de presse à propos d'une confusion entre Mme Ingrid Betancourt et Mme Liliane Bettencourt, la convocation de M. Nicolas Sarkozy ne mentionnait pas un rendez-vous relatif à Mme Ingrid Betancourt, figurant dans son agenda à la date du 5 juin 2007 au palais de l'Élysée, et qu'il n'a pas été interrogé sur ce point ». 

Le Figaro a ensuite opportunément ressortie une tribune publiée dans le journal Le Monde datée du 27 juin 2012 dans laquelle 82 magistrats – dont le juge Gentil – s'alarmaient de l'abandon de la lutte contre la grande délinquance financière. Le nom de Nicolas Sarkozy n’était jamais cité dans le texte, mais il n’en fallait pas plus pour Le Figaro et les amis de Nicolas Sarkozy pour conclure que l’ancien président de la République était dans le collimateur d’un véritable juge « rouge ». Un magistrat aux visées politiques qui n’avait d’autre but que de « se faire » l’ancien chef de l’Etat. Pas seulement incompétent donc, mais aussi militant. 

Et l’on passe sur les attaques au vitriol que les amis de l’ancien chef de l’Etat ont cru bon de déclencher contre le magistrat. A commencer par Henri Guaino qui l’accusa carrément de déshonorer « un homme, les institutions, la justice. » 

Lire l'intégralité de l'article

Les comptes contestés par le Conseil Constitutionnel

A limiter sa morale au droit et être constamment "border line" pour optimiser, on se retrouve hors la loi. La forme qui revient ici à plonger dans une comptabilité, doit fixer des bornes qui sont connues de tous.

Voici le détail des comptes de Nicolas Sarkosy contestés par le Conseil Constitutionnel. Du journalisme factuel permettant au lecteur de faire sa propre opinion.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/videos-ce-que-...

jeudi, 04 juillet 2013

Une école construite avec de la paille à Issy les Moulineaux

En septembre 2013, une école dont les murs sont constitués de 35 cm de paille va être ouverte à Issy les Moulineaux.

Bravo à Sonia Cortesse, spécialiste de l'architecture environnementale, qui s'est donné pour mission de concevoir des bâtiments respectueux de l'homme et de l'environnement. Saluons la décision d'André Santini, maire d'Issy les Moulineaux.

Voir l'article dans L'Express de cette semaine.Sonia-école-Issy.PNG

Autre réalisation de Sonia Cortesse joignable à Paris :

http://www.lexpress.fr/styles/design/une-maison-zen-dans-...