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mardi, 10 février 2015

Démagogie, mensonges, medias et politique : un vainqueur incontesté.

Les medias et en particulier le télévisuel et les radios permettent de faire circuler des informations infondées et même des messages que les journalistes n'ont pas le temps ou la volonté de corriger. Problème : même corrigés, une erreur ou un mensonge a déjà fait son oeuvre de destruction.

Déjà que les institutions actuelles "obligent" les candidats à promettre l'irréalisable pour être élus, faut-il en plus accepter les mensonges répétés ?

Des journalistes s'essaient à vérifier les affirmations des candidats avec de l'humour pour le plus grand menteur. Ne devraient-ils pas plutôt le faire en permanence ? et demander un droit de correction dans les mêmes conditions ?

15:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

mardi, 20 janvier 2015

Un moment extra-ordinaire avant le retour de l'ordinaire

jesuischarlie.JPG

mercredi, 14 janvier 2015

Les liens de la dépendance énergétique

de Marc Théry : http://www.territoires-energethiques.fr

     Nous n’allons pas, bien sûr, nous lamenter sur la chute inattendue des prix du pétrole. Comme tout le monde, nous en profiterons jusqu’au bout (car il y en aura un), mais pas au-delà. Noël est encore là, mais nous avons passé l’âge de croire au Père Noël. Tout de suite, les bonnes âmes qui nous gouvernent dans tous les domaines crient au redémarrage de la croissance, ce nirvana de la société occidentale, et à la disparition du peak oil. Quelle tromperie ! Et de quelles désillusions sera-t-elle porteuse ! Parce qu’en fait, loin d’être une libération, cette chute du prix de la matière première numéro un dans le monde n’est que la conséquence de la guerre intense que se livrent ceux qui la détiennent pour assurer leur domination, voire leur monopole, après élimination de leurs concurrents. Et ensuite, dans six mois, si finalement tous s’entendent (sur notre dos), ou dans deux ans, s’il faut vraiment des morts, tout reprendra de plus belle, soyez en sûrs. L’heure ne sera plus au Père Noël, mais aux pleurs et aux grincements de dents, dans des liens de dépendance encore plus serrés, parce qu’aucune perspective de concurrence « libérale » ne sera plus en vue.

     C’est ce qui est déjà arrivé à plusieurs reprises, entre les chocs pétroliers et les contre-chocs qui ont suivi. Peu à peu et de diverses manières, ont été éliminés tout un tas d’acteurs qui cherchaient à jouer « perso » : l’Iran, l’Irak, le Venezuela. Aujourd’hui, c’est le tour de la Russie et des pétroles non conventionnels (pétrole de schiste, de l’Arctique, des fonds océaniques etc.) C’est un modèle universel, qui vaudra aussi pour le gaz naturel et pour l’uranium (aujourd’hui défendu, à l’étranger, par nos forces armées), le moment venu.

     Et, à chaque fois, les pays faibles préfèrent se « goinfrer », se jeter sur une consommation immodérée et oublier les voies de la saine raison qui voudraient que les temps plus faciles soient mis à profit pour préparer le retour des temps d’airain. Après 1973 et 1979, notre pays s’est mis au travail pour réduire sa dépendance, puis, quand la bise fut passée, se dépêcha d’abandonner les efforts. Nous y sommes de nouveau, et, bien entendu, en ces temps de disette financière, tout le monde prendra argument de cette aubaine inespérée pour relâcher les efforts et projets qui ont tant de mal à s’installer. Et dans deux ans, année électorale chez nous, il sera juste temps de refiler la patate chaude au suivant, comme d’habitude. Sauf que là, avec notre état de santé économique et sociale, c’est plutôt d’un sac de patates chaudes qu’il va être question.

     Les pays forts, où on ne triche pas sur les prix de l’énergie, ont depuis longtemps engagé les efforts pour atteindre une véritable indépendance énergétique. Ils savent pourquoi, ils savent que c’est dur et ils ne veulent pas, pour quelques années d’ivresse (?) illusoire compromettre des années de labeur.

     Notre problème est que nos prix de l’électricité sont très subventionnés par nos impôts, entretenant, à grands coups de rapports de la cour des comptes et autres, la fiction d’une électricité bon marché : on ne peut, à cause de ça, parvenir à justifier aucun investissement d’économie, et, si d’aventure on essayait de profiter de la baisse temporaire des prix du pétrole pour dégager des moyens financiers , il y a tout à parier que cela servirait d’abord à boucher d’autres trous béants de notre économie, comme la fameuse protection sociale. Remarquez que cela peut aussi se faire au niveau individuel, à condition que l’ambiance soit là…

     Comme cela semble sans solution, c’est à chacun, à son niveau, à prendre ses responsabilités, en espérant que les politiques et dispositions fiscales et légales ne viendront pas anéantir les efforts locaux ou individuels.

     Mais, même au pic de l’hiver, il fera jour demain, c’est l’espérance de Noël : encore une fois, à nous de nous préparer en mettant en œuvre les bonnes démarches et en faisant les bons choix. Nous serons là en 2015 pour vous y aider.

samedi, 10 janvier 2015

La fin du salariat et les 30 glorieuses, accident de l'histoire.

"Alors que Piketty est classé à gauche, le torchon brûle entre l’économiste et le gouvernement actuel. “Je refuse cette nomination, car je ne pense pas que ce soit le rôle d'un gouvernement de décider qui est honorable“ s’est justifié Piketty, ajoutant que l'Etat “ferait bien de se consacrer à la relance de la croissance en France et en Europe“, plutôt que de distribuer ces distinctions. Il faut dire que l'accueil réservé au livre par le gouvernement à sa sortie il y a environ un an avait été plus que mitigé. L'économiste critique en effet régulièrement la politique menée par François Hollande qui lui semble manquer d’audace, justement, notamment du fait de l’abandon de sa promesse de campagne d'une profonde réforme fiscale visant à une plus grande progressivité de l'impôt, thèse défendue par l'économiste dans son dernier ouvrage.

Dans cet ouvrage, Piketty sort des sentiers battus et fait bien preuve d’audace : ce n’est pas par un retour à la croissance à 2 points qu’on sortira de la crise – et donc qu’on résorbera le chômage. Selon l’économiste, cette période de forte croissance est derrière nous ; c’est un accident de l’histoire économique, un épiphénomène qui ne se reproduira plus, hors événements exceptionnels éventuels (comme les 2 guerres mondiales du 20° siècle qui ont permis les Trente Glorieuses). Si l’économiste propose de taxer les revenus par un impôt progressif, c’est parce qu’il a montré que les revenus de ceux qui détiennent le capital s’accroissent plus vite et plus sûrement que ceux qui travaillent, particulièrement en période de croissance faible. On peut comprendre la déception de Thomas Piketty constatant que le gouvernement de François Hollande n’a pas osé ce rééquilibrage plus juste des richesses pour éviter la concentration du capital auprès “d’happy fews“."

voir le post complet : http://blog.mars-lab.com/Billets/2015/2015-01-fin-du-choma...

 

La baisse du pétrole pour nous asservir.

Les liens de la dépendance.

     Nous n’allons pas, bien sûr, nous lamenter sur la chute inattendue des prix du pétrole. Comme tout le monde, nous en profiterons jusqu’au bout (car il y en aura un), mais pas au-delà. Noël est encore là, mais nous avons passé l’âge de croire au Père Noël. Tout de suite, les bonnes âmes qui nous gouvernent dans tous les domaines crient au redémarrage de la croissance, ce nirvana de la société occidentale, et à la disparition du peak oil. Quelle tromperie ! Et de quelles désillusions sera-t-elle porteuse ! Parce qu’en fait, loin d’être une libération, cette chute du prix de la matière première numéro un dans le monde n’est que la conséquence de la guerre intense que se livrent ceux qui la détiennent pour assurer leur domination, voire leur monopole, après élimination de leurs concurrents. Et ensuite, dans six mois, si finalement tous s’entendent (sur notre dos), ou dans deux ans, s’il faut vraiment des morts, tout reprendra de plus belle, soyez en sûrs. L’heure ne sera plus au Père Noël, mais aux pleurs et aux grincements de dents, dans des liens de dépendance encore plus serrés, parce qu’aucune perspective de concurrence « libérale » ne sera plus en vue.

     C’est ce qui est déjà arrivé à plusieurs reprises, entre les chocs pétroliers et les contre-chocs qui ont suivi. Peu à peu et de diverses manières, ont été éliminés tout un tas d’acteurs qui cherchaient à jouer « perso » : l’Iran, l’Irak, le Venezuela. Aujourd’hui, c’est le tour de la Russie et des pétroles non conventionnels (pétrole de schiste, de l’Arctique, des fonds océaniques etc.) C’est un modèle universel, qui vaudra aussi pour le gaz naturel et pour l’uranium (aujourd’hui défendu, à l’étranger, par nos forces armées), le moment venu.

     Et, à chaque fois, les pays faibles préfèrent se « goinfrer », se jeter sur une consommation immodérée et oublier les voies de la saine raison qui voudraient que les temps plus faciles soient mis à profit pour préparer le retour des temps d’airain. Après 1973 et 1979, notre pays s’est mis au travail pour réduire sa dépendance, puis, quand la bise fut passée, se dépêcha d’abandonner les efforts. Nous y sommes de nouveau, et, bien entendu, en ces temps de disette financière, tout le monde prendra argument de cette aubaine inespérée pour relâcher les efforts et projets qui ont tant de mal à s’installer. Et dans deux ans, année électorale chez nous, il sera juste temps de refiler la patate chaude au suivant, comme d’habitude. Sauf que là, avec notre état de santé économique et sociale, c’est plutôt d’un sac de patates chaudes qu’il va être question.

     Les pays forts, où on ne triche pas sur les prix de l’énergie, ont depuis longtemps engagé les efforts pour atteindre une véritable indépendance énergétique. Ils savent pourquoi, ils savent que c’est dur et ils ne veulent pas, pour quelques années d’ivresse (?) illusoire compromettre des années de labeur.

     Notre problème est que nos prix de l’électricité sont très subventionnés par nos impôts, entretenant, à grands coups de rapports de la cour des comptes et autres, la fiction d’une électricité bon marché : on ne peut, à cause de ça, parvenir à justifier aucun investissement d’économie, et, si d’aventure on essayait de profiter de la baisse temporaire des prix du pétrole pour dégager des moyens financiers , il y a tout à parier que cela servirait d’abord à boucher d’autres trous béants de notre économie, comme la fameuse protection sociale. Remarquez que cela peut aussi se faire au niveau individuel, à condition que l’ambiance soit là…

     Comme cela semble sans solution, c’est à chacun, à son niveau, à prendre ses responsabilités, en espérant que les politiques et dispositions fiscales et légales ne viendront pas anéantir les efforts locaux ou individuels.

     Mais, même au pic de l’hiver, il fera jour demain, c’est l’espérance de Noël : encore une fois, à nous de nous préparer en mettant en œuvre les bonnes démarches et en faisant les bons choix. Nous serons là en 2015 pour vous y aider.

L’énergie juste !

Editorial de Marc Théry

contact@territoires-energethiques.fr

ou sur http://www.territoires-energethiques.fr 

 

vendredi, 09 janvier 2015

Ce soir à l'université de SQY, expression libre pour Charlie

charlie, quentin, uvsq

11:46 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

Marche de dimanche 11 janvier 2014 - Je suis Charlie

je suis charlie.PNG

 

Le 7 janvier 2015 des terroristes ont décapité la direction de Charlie Hebdo. Les commanditaires veulent anéantir la Liberté pour la soumettre à une dictature.

Que faire ? Les partis politiques après une courte période de sidération recommencent leurs polémiques et veulent récupérer l'événement et l'émotion qu'il suscite.

Mesdames et messieurs les politiques et tous autres responsables, participez à cette marche sans aucune bannière partisane simplement en tant que citoyens. Cette marche est celle des Français, de tous les Français que les valeurs de Liberté, Egalité, Fraternité réunissent.

Citoyenne, citoyenne, achetez le prochain numéro numéro de Charlie Hebdo pour permettre à ce journal de continuer à défendre chacun face aux multiples attaques contre la liberté d'expression des opinions. 

Voir : http://libracteurs.blogspot.fr/

08:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

mardi, 30 décembre 2014

Le livre que tout lemonde doit ignorer en France

Une ancienne ministre dénonce l'Etat nucléaire en France avec tous ses lobbies.

http://journaldelenergie.com/nucleaire/corinne-lepage-en-...

Extrait :

Quel accueil a reçu votre livre « l’Etat nucléaire » ?

« Je n’ai pas eu un article de commentaire dans la presse écrite. Zéro ! C’est une omerta incroyable. Aucun commentaire, même pour dire que c’est un livre nul. Ce n’est pas le sujet. Je ne souhaite pas qu’on dise que c’est bien. Mais qu’on en parle.

La guerre contre l'éolien terrestre continue

Voici un extrait de la lettre de Marc Théry :

D'autant plus que la LPO, (lien cliquable) dans une vision extensive de son champ d'action, remet le couvert contre l'éolien "industriel". Pour tout dire, contre l'éolien tout court. Une grosse étude de la LPO sur le parc vendéen de Bouin (lien cliquable) a montré l'absence d'incidence notable des éoliennes sur les oiseaux et les chiroptères. La LPO de l'Aude part donc en guerre pour la défense du patrimoine, des paysages, de la biodiversité etc. : Les chevaux de bataille "Bobos" lancés par les associations et les médias soutenus par le lobby nucléocrate. La vraie bataille, c'est celle de l'éolien participatif, propriété des habitants du voisinage, mais bizarrement, cette question est passée sous silence. Le département de l'Aude a à la fois beaucoup de vent et de soleil. Tant mieux : il doit en profiter économiquement et en faire bénéficier ses voisins moins bien pourvus. Les petits calculs de quotas locaux sont ridicules, et le gâchis de ces ressources sera coupable demain.

Rédaction : Marc Théry 

Informations, abonnements, désabonnements à l’adresse suivante :

contact@territoires-energethiques.fr 
ou sur http://www.territoires-energethiques.fr

mardi, 23 décembre 2014

Comment construire un plan stratégique pour les Français et par qui ?

En affaires humaines, il est des données fondamentales dont il faut tenir compte. Avec la diffusion de l'information instantanée et disponible 24h/24, chaque citoyen peut exercer son intelligence et se regrouper avec d'autres. Un "excentrique" d'isolé et solitaire peut se voir reconnu par des milliers d'autres. Le savoir n'est plus aux mains d'une minorité dominante qui pourtant s'accroche encore à ses rentes de situation de classe intouchable.

Si un pays n'a pas à être gérée comme une entreprise, il faut pourtant admettre que les obstacles aux processus d'évolution et de changement sont principalement d'ordre mental.

Je vous invite à lire une contribution de Richard Hasselmann.

10:49 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |